C’est l’heure des derbies dans le football européen ! Samedi soir à partir de 18 h 30, les deux clubs berlinois se rencontrent au Stadion An der Alten Försterei et 2 h 30 plus tard, El Derbi Barcelonés est au programme. Mais l’essentiel du week-end se déroulera dimanche avec le match entre les meilleurs ennemis Galatasaray et Fenerbahçe et le match phare de la Serie A entre l’Inter et Naples. On peut vous donner un conseil ? Assurez-vous que toutes les tâches du quotidien sont achevées le samedi matin et planifiez vos activités sportives le dimanche matin ! Dès samedi après-midi, vous serez en effet captivé par les chefs-d’œuvre des stars européennes du ballon rond. Quoi qu’il arrive, vous pourrez suivre tous les matchs de très près grâce à Bingoal. Rendez-vous sur Bingoal pour parier sur tous les grands matchs européens !
Union Berlin – Hertha Berlin, samedi 21 mars à 18 h 30
Le derby entre les deux porte-drapeaux du football berlinois en est seulement à sa neuvième édition depuis la création de la Bundesliga et la 2. Bundesliga, mais les supporters des deux clubs se détestent. Bien que l’Union Berlin n’ait pu rentrer dans les vestiaires avec un avantage qu’une seule fois lors de ses huit derniers matchs à domicile, elle a une certaine réputation à tenir. Lors de la première journée de la campagne 2020 – 2021, l’Union Berlin s’était inclinée 1 – 3 face à Augsbourg, mais l’équipe de l’entraîneur Urs Fisher n’a plus jamais été piégée dans son antre jusqu’à la récente défaite contre le Bayern de Munich le 30 octobre (2 – 5). Au total, l’Union a enchaîné 21 matchs sans défaite à domicile et aucun club de Bundesliga n’a fait mieux durant cette période.
L’Union Berlin, dont la dernière victoire dans le derby remonte au 2 février 2011, devra surtout se méfier de Marco Richter. Contre l’Eintracht Francfort, le Borussia Mönchengladbach et Preußen Münster, l’ailier de 23 ans avait enfilé son costume de buteur et comme par hasard ces matchs ont tous été remportés par le Hertha.
Barcelone – Espanyol, samedi 20 novembre à 21 h
Le titre s’est peut-être envolé pour Barcelone. Mais malgré un retard de dix points sur le Real Madrid, deuxième au classement derrière le leader Real Sociedad, les choses sont redevenues paisibles au Camp Nou depuis l’intronisation de Xavi Hernández. Et l’icône du Barça n’aurait pas pu souhaiter de meilleurs débuts qu’un derby contre l’Espanyol. Au cours de sa carrière, Xavi n’a perdu que deux de ses 36 derbies et cette fois-ci encore, une défaite contre ses voisins n’est pas envisageable. En Liga, le Barça compte déjà 22 matches sans défaite contre l’Espanyol – le dernier revers des Blaugrana remonte déjà au 21 février 2009 (1 – 2).
Mais cette saison, les deux équipes sont côte à côte au classement avec 17 points chacune. En cas de victoire, L’Espanyol peut donc devancer le Barça, qui a perdu des points en championnat lors de ses quatre dernières sorties. Ces chiffres ne font qu’illustrer l’ampleur du chantier auquel Xavi doit s’attaquer en un temps record.
Galatasaray – Fenerbahçe, dimanche 21 novembre à 17 h
Trabzonspor, qui est en quête de son septième titre de champion depuis 1984, a démarré la saison en trombe et a temporairement mis hors d’état de nuire les trois grands clubs stambouliotes Fenerbahçe, Galatasaray et Besiktas. Il y aura donc de l’électricité dans l’air dimanche lorsque les joueurs de Galatasaray et de Fenerbahçe feront leur apparition dans le Nef Stadium. Une chose est sûre : en fonction du résultat de Trabzonspor – Gaziantep FK lundi, au moins une des deux équipes stambouliotes devra se résoudra à jouer les seconds rôles.
En y regardant de plus près, c’est surtout Fenerbahçe qui est dans la tourmente. Fener a perdu trois de ses quatre derniers matchs en Süper Lig et n’a pas réussi à garder un clean sheet en neuf matchs. De plus, l’entraîneur portugais Vítor Pereira n’a pas encore réussi à faire briller Mesut Özil. L’ex international Allemand est arrivé à Fenerbahçe en janvier et on attend toujours qu’il explose en Turquie. Özil, peut-il renverser la vapeur dans un des derbies les plus chauds sur le continent européen ?
Inter – Naples, dimanche 21 mars à 18 h
Les concepteurs du calendrier ont sans doute été très inspirés lors de l’échafaudage de la treizième journée de Serie A. Avec AC Milan – Fiorentina, Lazio – Juventus et Inter – Naples, six équipes du top 8 s’affrontent. La Lazio, la Fiorentina et la Juventus ont plus de dix points de retard sur les leaders AC Milan et Naples et peuvent déjà faire une croix sur le titre. Mais pour l’Inter, le tenant du titre, ça passe ou ça casse. En tout cas, une victoire permettrait au Milanais de revenir à quatre points de l’équipe de Luciano Spalletti.
L’Inter est invaincu depuis quatre matchs face à Naples et compte sur l’instinct de buteur d’Edin Dzeko (8 buts), Lautaro Martínez (5 buts) et Joaquín Correa (4 buts) pour continuer sur sa lancée. Mais les attaquants de l’Inter devront se frayer un chemin dans la défense de Naples, dirigée par Kalidou Koulibaly, qui n’a encaissé que quatre buts jusqu’à présent.
Lyon – Marseille, dimanche 21 novembre, 20 h 45
Le Néerlandais Peter Bosz s’était probablement fait une autre idée de ses premiers mois à Lyon. En Europa League, l’OL est irrésistible – avec 12 buts, l’équipe possède même la meilleure attaque du tournoi – mais en Ligue 1, les choses ne vont pas bien. Lyon n’a pas encore réussi à se hisser dans le top 5 du championnat cette saison et la défense, dont Jason Denayer est à nouveau le titulaire depuis la mi-octobre, vacille depuis des mois. Après Clermont (26 buts encaissés), Bordeaux (27 buts encaissés), Metz (27 buts encaissés) et Saint-Etienne (28 buts encaissés), Lyon (21 buts encaissés) a la pire défense du championnat.
Contre Marseille, Bosz devra se passer de Moussa Dembélé, Jeff Reine-Adélaïde, Tino Kadewere, Léo Dubois et peut-être de son gardien numéro 1 Anthony Lopes. Heureusement pour Lyon, Karl Toko Ekambi est dans la forme de sa vie. L’ailier gauche a déjà inscrit dix buts en Ligue 1 et en Europa League et a marqué six fois lors des cinq derniers matchs à domicile. Peut-il prolonger sa série contre une équipe de Marseille qui n’a pas gagné à Lyon depuis quatorze ans ?